Quel site! On-y-apprend des choses dont je n’avais jamais entendu parler auparavant. Laissez moi vous dire que les mémoires du Dr. Comtois sont aussi formidables quelles sont en-ri-chis-san-tes.
Janvier 1954:Parti de Senneterre Abitibi vers six ou sept heure le soir à bord du train de nuit,je savais que le parcour serait long.Paradis,Forsythe,Clova,des bleds aujourdhui disparus,n’étaient que quelques uns des nombreux arrêts que nous devions faire avant d’arriver à destination.
La Tuque:Vers quatre ou cinq heure le matin, petite ville grouillante même dans la nuit glacée,avec ses enseignes au néon et l’affiche lumineuse de l’hotel Winsor,nous semblait être une lueur au bout d’un tunnel bordé d’épinettes rachitiques.
Sans le savoir nous roulions sur les traces de ces valeureux Dr.Comptois,Rivard et compagnie qui nous avaient précédés ving ou trente années auparavant.
La grosse locomotive au charbon s’enfoncait lentement dans la nuit opaque.Crachant une fumée blanche,faisant un bruit d’enfer sur les rails d’aciers,faisant s’éloigner en bondissant les lièvres aux flancs minces,emportant avec elle un long convoi rempli d’une horde de voyageurs au yeux rougis de fatigue.
Après arrêt à Hervey Jonction et échange de wagons tintamaresque,le visage des voyageurs s’illuminaient quand le PORTER aborant sa casquette sur laquelle était inscrit C.N.R avancait en titubant (le roulis des wagons)il annoncait:Prochain arrêt next stop PONT ROUGE.
Le jour se levait, le soleil se pointait la face à l’horizon,après douze ou treize heures de grande noirceur des années cinquantes…
Adrien Blais
J’aime bien votre page web, c’est pourquoi j’aimerais y apporter une petite correction au sujet des trois morts…Le quatrième comme vous dites n’est pas décédé de cette accident, je l’ai très bien connu et ce n’est que plusieurs années plus tard qu’il passa de vie a trépas.
Je suis natif de l’endroit ou a eu lieu l’accident en question, et je peux vous dire qu’en ce temps la un groupe de scouts de la Tuque était campé tout près de l’endroit et ce sont eux accompagné de leur aumonier qui furent les premiers arrivés sur l’accident.
Moi j’ai vu le sang dans la gravelle, mais les victimes avaient été évacuées quand je suis arrivé sur les lieux…
Cet accident reste dans ma mémoire comme plusieurs autres ,
la route de La Tuque était une tueuse….
Veuillez accepter mes sincères salutations.
Adrien Blais
Raymond Carrière
Le docteur Max Comtois est en quelque sorte quelqu’un que j’ai très bien connu: c’est lui qui m’a mis au monde !!!
Mes parents habitaient alors rue Préfontaine en ville Jacques-Cartier. Mes parents vénéraient Max Comtois. Aujourd’hui, j’ai 54 ans et quelle magnifique surprise pour moi de découvrir, au hasard, ce site qui rend un hommage mérité à un homme qui a contribué à ce que je vive.
Merci de tout coeur !
Raymond Carrière
Pierre Cantin
Un mot sur le docteur Paul-Léon Rivard, qui fut médecin à Clova, au nord de Sanmaur, puis à La Tuque, quand les opérations forestières de la Brown Corporation et de la Canadian International Paper ont toutes été transférées à La Tuque vers 1954. Cette année-là, l’ONF (l’Office national du film du Canada) a tourné un film de 22 minutes sur la pratique nordique assez particulière du médecin (usage de la radio et de l’avion, entre autres). Le titre LE MÉDECIN DU NORD . Le court métrage faisait partie de la série “En avant Canada”. Il a depuis été transféré en version VHS sur une vidéo qui dure une heure : ” Professionnels des annnées 1950″ (ONF 1963). Téléquébec l’a diffusé à quelques reprises. Puis, la même année, 1963, Bill Trent a écrit un gros bouquin sur le médecin, utilisant le même titre, traduit, la mème année en français et qui a connu deux éditions. La première, à Québec, au Club du livre à succès, la seconde, à Paris, aux éditions France-Empire. J’avais lu le livre alors que j’étais pensionnaire au Séminaire Saint-Joseph, à Trois-Rivières, approuvé par le préfet de discipline ! Il y en a un exemplaire, je crois bien, à la bibliothèque municipale, à La Tuque. Paul Rivard est donc un être tout à fait différent du docteur Comtois, mais les deux ont pratiqué une médecine de pionniers, généreux de leur temps et de leurs soins, tout comme l’admirable docteur Jacques Ferron, le merveilleux écrivain, l’a fait, sur 60 milles de cotes, en Haute-Gaspésie, de 1946 à 1948. Les médecins ne se la coulaient pas douce à l’époque. Il serait intéressant que quelqu’un dela famille Rivard puisse écrire les grandes lignes de cette riche carrière d’omnipraticien qui fut celle de Rivard.
Et, encore une fois, bravo aux responsables du présent site : quel bel outil de retrouvailles des Mauriciens et Mauriciennes exilés ici et là.
Chelsea, Québec, ce 13 février 2006.
Et ceci grâce a notre chère et précieuse webmestre du site DR.COMTOIS. Salut à tous.Ren.Wexler
Stefanie
Bonjour, j’aimerais bien que vous m’informiez sur le tremblment de terre qui eu lieu en 1925 le 28 fevrier. Ma gtand-mere est née pendant celui-ci! Elle est née a Ville de la Baie. Je sais pas trop quel quotidien avait publier un article la dessus, mais j’aimerais bien avoir un exemplaire de cet article. Question de famille. Merci infiniment.
Denise
Bonsoir,
Toutes mes félicitations pour votre site.
Quel courage d’être Docteur en région si éloignée à cette époque.
Je suis très émue et touchée par vos souvenirs. Je reviendrai vous lire.
Ça m’a ramenée dans le passé en 1957, quand ma mère accoucha
d’une petite fille souffrant de l’hydrocéphalie et de la paralysie cérébrale. Je me souviens du Dr, à la maison ensuite mes parents plaçait ma soeur près du poêle à bois très souvent. Malheureusement, ma soeur ne vécue qu’un mois et demi ne pouvant plus boire son lait car la paralysie à montée jusqu’à sa gorge.
Merci profondément
Andre Comtois
Bravo et j’aimerais en savoir plus sur le prmier comtois arriver au québec et pour quel raison est t-il venu (Pixelcom@ivic.qc.ca)
Claude Comtois
C’est par hasard que j’ai découvert ce site. Je ne sais si nous sommes parents.
Quel réçit extraordinaire et quel conteur. On s’y croirait.
On nous raconte sans cesse combien la vie était dure à l’époque mais il est rafraichissant de constater qu’elle recelait des compensations et des gratifications.
Céline Ross
Bonjour,
J’ai vécu de 1948 -année de ma naissance, à environ 1958, à Sanmaur!
Je me demande comment avoir des informations sur Sanmaur aujourd’hui… ou des photos d’antan..
Le souvenir de M. Comtois où il est question de Sanmaur m’a replongée dans l’atmosphère de cette vie “reculée” et sauvage.
Merci!
G. Gélinas, webmestre du site du Dr Comtois
Le Dr Comtois n’est pas le médecin du Nord. Il y avait bel et bien un Dr Rivard qui exerçait sa profession dans la même région et ils se connaissaient comme en témoignent certaines photos au lien qui suit : http://drcomtois.situs.qc.ca/danse_des_lievres.html
Rody Cloutier
Très intéressant à lire ce site web, cependant ceci crée une confusion dans mon esprit. Je viens de terminer la lecture du roman MÉDECIN DU NORD “Dr. Paul Rivard” de Clova. Au dernier chapitre il et écrit qu’il fut transféré à La Tuque par la Compagnie CIP. Est-ce-que le Dr. Rivard est devenu pour le besoin historique le Dr. Comtois ou si ce sont deux médecins qui ont vécus des expériences similaires.
GUY HAMEL
ETANT CHEF DE GARE REMPLACANT A SANMAUR POUR LE CANADIEN NATIONAL EN 1948 POUR ENVIRON 6 MOIS. LE NOM McCARTY DU BARRAGE DE LA LOUTRE ME VIENT A L’ESPRIT, IL ETAIT A L’EMPLOIE DE LA BROWN CORPORATION. CETTE PERIODE ETAIT 20 ANS PLUS TARD QUE CELLE DU DOCTEUR COMTOIS JE PRENAIS MES REPAS A LA CUISINE DE LA BROWN, JE SUIS CERTAIN QUE LES CUISINIERS DU TEMPS AURAIENT RIVALISER AVEC CEUX DE BONS RESTAURANTS. MOI ET LE PERSONEL DE LA GARE AVONS FAIT UN VOYAGE DE PECHE DE REVE AU LAC BELLEVUE ENVIRON 15 MILES AU NORD DE SANMAUR AVEC UNE JEEP EMPRUNTER A LA BROWN. TRES SOUVENT ONT POUVAIENT S’ECHANGER DES FAVEURS ENTRE NOUS DE PLUSIEURS FACONS.
J.GUY HAMEL LAPRAIRIE QC.
jean-rene lavoie
BIEN QUE NÉ EN 1947, IL EST TOUJOURS FASCINANT DE DÉCOUVRIR
LA MANIERE DE VIVRE DES GENS DE CET ÉPOQUE ET SURTOUT COMMENT ON POUVAIT ETRE INVENTIF DANS LA MANIERE DE SOIGNER
LES MALADES ET D’ACCOUCHER LES FEMMES.
LA DISTANCE N’AVAIT PAS D’IMPORTANCE POUR LES MEDECINS.
JE RECOMMENDERAI CE SITE A DES PERSONNES QUI ONT PU CONNAITRE CET EPOQUE.
A LA PROCHAINE
Ginette Gendron
Votre site est tout simplement super. Bien je n’étais pas de ce temps, j’ai vécu à Parent et à La Tuque. Alors je connais tous les endroits que vous avez visiter.
Bonne chance dans vos recherches
Yolande Descheneaux
J’ai apprécié lire votre histoire de Noël. J’habite Pierreville depuis mon enfance, soit 50 ans. J’étais bien curieuse de lire Pierreville dans vos souvenirs. Etes-vous de la famille de M.Paul Comtois, gouverneur?
R. Mercier
J’ai devant moi le livre: LE MÉDECIN DU NORD. Que j’ai lu avec beaucoup d’intéret, le DR. Comtois est devenu DR. Rivard.
Traduit de l’Anglais sous le titre: NORTHWOODS DOCTOR.
Auteur: BILL TRENT Édité en 1963.C’est ce qu’on peut appeler :Un vrai roman. Salut à tous les gens de La Tuque.
Pierre Cantin
C’est avec une très agréable surprise que j’ai découvert qu’un monsieur McCarthy, qui a travaillé pour la Brown Corporation, avait tenu un journal sur son passage en Haute-Mauricie. Comme ma famille a habité au dépôt Chaudière, sur la Saint-Maurice, en 1948 et 1949, avant d’emménager à Sanmaur, où elle est restée jusqu’à l’automne 1954, je serais très intéressé à entrer en contact avec lui et surtout de pouvoir lire ce fameux journal. Je suis en train de ramasser des photos et des renseignements sur ce coin de pays pour la rédaction éventuelle d’un livre sur Sanmaur. Ce serait très chouette de votre part de me mettre en contact avec ce monsieur.
Je retourne souvent à la lecture de votre fabuleux site.
Mon père, Émile Cantin, décédé en juillet 1996, a travaillé pour la Brown, puis pour la Canadian International Paper (Woodland Division – Division forestière, à La Tuque), de 1943 à sa retraite, en 1976.
Cordiales salutations.
Pierre Cantin, professeur à la retraite, maintenant réviseur linguistique et chercheur.
3, chemin Beausoleil, Chelsea, QC, J9B 1E7
Jacques Belanger
Récit très intéressant qui m’a permis d’imaginer une partie de l’univers de ma mère, Marguerite Savard née en 1905, qui a vécu à La Tuque de 1915 à 1939.
Elle a fait ses études au couvent du lieu autour des années 20.
Elle a très certainement connu le Dr Comtois.
Merci beaucoup
paul McMullen
tres beaux ,moi suis presque née dans les chantiers de la Mattawoin et du chapeaux de pail mon pére venais de matane etais contracteur pour j,J Créte a 4 mois moi jetais dans les chantiers et suis rester juque a l’age de 7ans sa cétais en 1943, mon pére fut Contracteur juque dans les années 1960 a se moment la il travaillais pour Consol aux lac des Chiennes j’aimerais bien savoir si il exsite un cite sur les chantiers de JJ Crétes le roi de la mauricie merci et excusé mes fautes ses cause accident si moi comme sa aprécirais beaucoups avoir confirmation a se sugais Aux plaisir Paul mcMullen 800 papin contrecoeur jol-1co Téléphonne 450-587-5059
Edgard THOUY
Très remarquable de simplicité expressive, et d’une chaleur humaine, tout à fait paradoxale dans la solitude de telles circonstances.
Landry, Marie-Françoyse
Considérant le commentaire qui précède sur Anne Stillman,je tiens à spécifier que mon intérêt pour celle-ci,le fut: grâce au récit du “Dr Comtois” qui agissait à titre de médecin personnel de cette dernière…récit que j’ai lu avec un vif intérêt.
Ce qui me permet de connaître à la fois ces deux citoyens forts intéressants de ma ville natale (La Tuque) et ses environs.
Merci!
Marie-Françoyse Landry (ILe Des Soeurs)
Landry, Marie-Françoyse
Nous pouvons dire qu’Anne Stillman dite “Madame” a réussi “sa” vie, bien qu’elle aie réussi dans la vie.
La richesse et l’érudition en ont fait une femme exceptionnelle qui se plaçait bien au-dessus de la mêlée.
Elle a su contribuer au développement de ma ville natale dont je suis fière: “La Tuque” et qui plus est, ses territoires environnants.
Félicitations! À Louise Lacoursière pour son roman et l’intérêt apporté à la lecture de celui-ci.
Bonne Continuation!
Marie-Françoyse Landry (Native de La Tuque)Demeurant à L’Ile Des Soeurs, Qc
et
Madeleine Lepage-Brault,( VMR) une amie qui adore la région.
Mélanie Tran
J’ai adoré lire ces petits bouts de vie, qui n’ont pas dû être facile mais que le bon docteur ne semble pas regretter.
Merci de les avoir rendu publics.
Mélanie
joan verville
je suis née en 1955 a sanmaur et je cherche de la documentation.mon pere était cuisinier a copper lake (belle plage) : mayloan55@hotmail.com
Ren Wexler
Quel site! On-y-apprend des choses dont je n’avais jamais entendu parler auparavant. Laissez moi vous dire que les mémoires du Dr. Comtois sont aussi formidables quelles sont en-ri-chis-san-tes.
Janvier 1954:Parti de Senneterre Abitibi vers six ou sept heure le soir à bord du train de nuit,je savais que le parcour serait long.Paradis,Forsythe,Clova,des bleds aujourdhui disparus,n’étaient que quelques uns des nombreux arrêts que nous devions faire avant d’arriver à destination.
La Tuque:Vers quatre ou cinq heure le matin, petite ville grouillante même dans la nuit glacée,avec ses enseignes au néon et l’affiche lumineuse de l’hotel Winsor,nous semblait être une lueur au bout d’un tunnel bordé d’épinettes rachitiques.
Sans le savoir nous roulions sur les traces de ces valeureux Dr.Comptois,Rivard et compagnie qui nous avaient précédés ving ou trente années auparavant.
La grosse locomotive au charbon s’enfoncait lentement dans la nuit opaque.Crachant une fumée blanche,faisant un bruit d’enfer sur les rails d’aciers,faisant s’éloigner en bondissant les lièvres aux flancs minces,emportant avec elle un long convoi rempli d’une horde de voyageurs au yeux rougis de fatigue.
Après arrêt à Hervey Jonction et échange de wagons tintamaresque,le visage des voyageurs s’illuminaient quand le PORTER aborant sa casquette sur laquelle était inscrit C.N.R avancait en titubant (le roulis des wagons)il annoncait:Prochain arrêt next stop PONT ROUGE.
Le jour se levait, le soleil se pointait la face à l’horizon,après douze ou treize heures de grande noirceur des années cinquantes…
Adrien Blais
J’aime bien votre page web, c’est pourquoi j’aimerais y apporter une petite correction au sujet des trois morts…Le quatrième comme vous dites n’est pas décédé de cette accident, je l’ai très bien connu et ce n’est que plusieurs années plus tard qu’il passa de vie a trépas.
Je suis natif de l’endroit ou a eu lieu l’accident en question, et je peux vous dire qu’en ce temps la un groupe de scouts de la Tuque était campé tout près de l’endroit et ce sont eux accompagné de leur aumonier qui furent les premiers arrivés sur l’accident.
Moi j’ai vu le sang dans la gravelle, mais les victimes avaient été évacuées quand je suis arrivé sur les lieux…
Cet accident reste dans ma mémoire comme plusieurs autres ,
la route de La Tuque était une tueuse….
Veuillez accepter mes sincères salutations.
Adrien Blais
Raymond Carrière
Le docteur Max Comtois est en quelque sorte quelqu’un que j’ai très bien connu: c’est lui qui m’a mis au monde !!!
Mes parents habitaient alors rue Préfontaine en ville Jacques-Cartier. Mes parents vénéraient Max Comtois. Aujourd’hui, j’ai 54 ans et quelle magnifique surprise pour moi de découvrir, au hasard, ce site qui rend un hommage mérité à un homme qui a contribué à ce que je vive.
Merci de tout coeur !
Raymond Carrière
Pierre Cantin
Un mot sur le docteur Paul-Léon Rivard, qui fut médecin à Clova, au nord de Sanmaur, puis à La Tuque, quand les opérations forestières de la Brown Corporation et de la Canadian International Paper ont toutes été transférées à La Tuque vers 1954. Cette année-là, l’ONF (l’Office national du film du Canada) a tourné un film de 22 minutes sur la pratique nordique assez particulière du médecin (usage de la radio et de l’avion, entre autres). Le titre LE MÉDECIN DU NORD . Le court métrage faisait partie de la série “En avant Canada”. Il a depuis été transféré en version VHS sur une vidéo qui dure une heure : ” Professionnels des annnées 1950″ (ONF 1963). Téléquébec l’a diffusé à quelques reprises. Puis, la même année, 1963, Bill Trent a écrit un gros bouquin sur le médecin, utilisant le même titre, traduit, la mème année en français et qui a connu deux éditions. La première, à Québec, au Club du livre à succès, la seconde, à Paris, aux éditions France-Empire. J’avais lu le livre alors que j’étais pensionnaire au Séminaire Saint-Joseph, à Trois-Rivières, approuvé par le préfet de discipline ! Il y en a un exemplaire, je crois bien, à la bibliothèque municipale, à La Tuque. Paul Rivard est donc un être tout à fait différent du docteur Comtois, mais les deux ont pratiqué une médecine de pionniers, généreux de leur temps et de leurs soins, tout comme l’admirable docteur Jacques Ferron, le merveilleux écrivain, l’a fait, sur 60 milles de cotes, en Haute-Gaspésie, de 1946 à 1948. Les médecins ne se la coulaient pas douce à l’époque. Il serait intéressant que quelqu’un dela famille Rivard puisse écrire les grandes lignes de cette riche carrière d’omnipraticien qui fut celle de Rivard.
Et, encore une fois, bravo aux responsables du présent site : quel bel outil de retrouvailles des Mauriciens et Mauriciennes exilés ici et là.
Chelsea, Québec, ce 13 février 2006.
wexler
Bonjour Stéfanie.
Tu trouveras toutes ces informations à propos du tremblement de terre de 1925 sur le site:DR.COMTOIS-1925 (http://drcomtois.situs.qc.ca/1925.html)
Et ceci grâce a notre chère et précieuse webmestre du site DR.COMTOIS. Salut à tous.Ren.Wexler
Stefanie
Bonjour, j’aimerais bien que vous m’informiez sur le tremblment de terre qui eu lieu en 1925 le 28 fevrier. Ma gtand-mere est née pendant celui-ci! Elle est née a Ville de la Baie. Je sais pas trop quel quotidien avait publier un article la dessus, mais j’aimerais bien avoir un exemplaire de cet article. Question de famille. Merci infiniment.
Denise
Bonsoir,
Toutes mes félicitations pour votre site.
Quel courage d’être Docteur en région si éloignée à cette époque.
Je suis très émue et touchée par vos souvenirs. Je reviendrai vous lire.
Ça m’a ramenée dans le passé en 1957, quand ma mère accoucha
d’une petite fille souffrant de l’hydrocéphalie et de la paralysie cérébrale. Je me souviens du Dr, à la maison ensuite mes parents plaçait ma soeur près du poêle à bois très souvent. Malheureusement, ma soeur ne vécue qu’un mois et demi ne pouvant plus boire son lait car la paralysie à montée jusqu’à sa gorge.
Merci profondément
Andre Comtois
Bravo et j’aimerais en savoir plus sur le prmier comtois arriver au québec et pour quel raison est t-il venu (Pixelcom@ivic.qc.ca)
Claude Comtois
C’est par hasard que j’ai découvert ce site. Je ne sais si nous sommes parents.
Quel réçit extraordinaire et quel conteur. On s’y croirait.
On nous raconte sans cesse combien la vie était dure à l’époque mais il est rafraichissant de constater qu’elle recelait des compensations et des gratifications.
Céline Ross
Bonjour,
J’ai vécu de 1948 -année de ma naissance, à environ 1958, à Sanmaur!
Je me demande comment avoir des informations sur Sanmaur aujourd’hui… ou des photos d’antan..
Le souvenir de M. Comtois où il est question de Sanmaur m’a replongée dans l’atmosphère de cette vie “reculée” et sauvage.
Merci!
G. Gélinas, webmestre du site du Dr Comtois
Le Dr Comtois n’est pas le médecin du Nord. Il y avait bel et bien un Dr Rivard qui exerçait sa profession dans la même région et ils se connaissaient comme en témoignent certaines photos au lien qui suit : http://drcomtois.situs.qc.ca/danse_des_lievres.html
Rody Cloutier
Très intéressant à lire ce site web, cependant ceci crée une confusion dans mon esprit. Je viens de terminer la lecture du roman MÉDECIN DU NORD “Dr. Paul Rivard” de Clova. Au dernier chapitre il et écrit qu’il fut transféré à La Tuque par la Compagnie CIP. Est-ce-que le Dr. Rivard est devenu pour le besoin historique le Dr. Comtois ou si ce sont deux médecins qui ont vécus des expériences similaires.
GUY HAMEL
ETANT CHEF DE GARE REMPLACANT A SANMAUR POUR LE CANADIEN NATIONAL EN 1948 POUR ENVIRON 6 MOIS. LE NOM McCARTY DU BARRAGE DE LA LOUTRE ME VIENT A L’ESPRIT, IL ETAIT A L’EMPLOIE DE LA BROWN CORPORATION. CETTE PERIODE ETAIT 20 ANS PLUS TARD QUE CELLE DU DOCTEUR COMTOIS JE PRENAIS MES REPAS A LA CUISINE DE LA BROWN, JE SUIS CERTAIN QUE LES CUISINIERS DU TEMPS AURAIENT RIVALISER AVEC CEUX DE BONS RESTAURANTS. MOI ET LE PERSONEL DE LA GARE AVONS FAIT UN VOYAGE DE PECHE DE REVE AU LAC BELLEVUE ENVIRON 15 MILES AU NORD DE SANMAUR AVEC UNE JEEP EMPRUNTER A LA BROWN. TRES SOUVENT ONT POUVAIENT S’ECHANGER DES FAVEURS ENTRE NOUS DE PLUSIEURS FACONS.
J.GUY HAMEL LAPRAIRIE QC.
jean-rene lavoie
BIEN QUE NÉ EN 1947, IL EST TOUJOURS FASCINANT DE DÉCOUVRIR
LA MANIERE DE VIVRE DES GENS DE CET ÉPOQUE ET SURTOUT COMMENT ON POUVAIT ETRE INVENTIF DANS LA MANIERE DE SOIGNER
LES MALADES ET D’ACCOUCHER LES FEMMES.
LA DISTANCE N’AVAIT PAS D’IMPORTANCE POUR LES MEDECINS.
JE RECOMMENDERAI CE SITE A DES PERSONNES QUI ONT PU CONNAITRE CET EPOQUE.
A LA PROCHAINE
Ginette Gendron
Votre site est tout simplement super. Bien je n’étais pas de ce temps, j’ai vécu à Parent et à La Tuque. Alors je connais tous les endroits que vous avez visiter.
Bonne chance dans vos recherches
Yolande Descheneaux
J’ai apprécié lire votre histoire de Noël. J’habite Pierreville depuis mon enfance, soit 50 ans. J’étais bien curieuse de lire Pierreville dans vos souvenirs. Etes-vous de la famille de M.Paul Comtois, gouverneur?
R. Mercier
J’ai devant moi le livre: LE MÉDECIN DU NORD. Que j’ai lu avec beaucoup d’intéret, le DR. Comtois est devenu DR. Rivard.
Traduit de l’Anglais sous le titre: NORTHWOODS DOCTOR.
Auteur: BILL TRENT Édité en 1963.C’est ce qu’on peut appeler :Un vrai roman. Salut à tous les gens de La Tuque.
Pierre Cantin
C’est avec une très agréable surprise que j’ai découvert qu’un monsieur McCarthy, qui a travaillé pour la Brown Corporation, avait tenu un journal sur son passage en Haute-Mauricie. Comme ma famille a habité au dépôt Chaudière, sur la Saint-Maurice, en 1948 et 1949, avant d’emménager à Sanmaur, où elle est restée jusqu’à l’automne 1954, je serais très intéressé à entrer en contact avec lui et surtout de pouvoir lire ce fameux journal. Je suis en train de ramasser des photos et des renseignements sur ce coin de pays pour la rédaction éventuelle d’un livre sur Sanmaur. Ce serait très chouette de votre part de me mettre en contact avec ce monsieur.
Je retourne souvent à la lecture de votre fabuleux site.
Mon père, Émile Cantin, décédé en juillet 1996, a travaillé pour la Brown, puis pour la Canadian International Paper (Woodland Division – Division forestière, à La Tuque), de 1943 à sa retraite, en 1976.
Cordiales salutations.
Pierre Cantin, professeur à la retraite, maintenant réviseur linguistique et chercheur.
3, chemin Beausoleil, Chelsea, QC, J9B 1E7
Jacques Belanger
Récit très intéressant qui m’a permis d’imaginer une partie de l’univers de ma mère, Marguerite Savard née en 1905, qui a vécu à La Tuque de 1915 à 1939.
Elle a fait ses études au couvent du lieu autour des années 20.
Elle a très certainement connu le Dr Comtois.
Merci beaucoup
paul McMullen
tres beaux ,moi suis presque née dans les chantiers de la Mattawoin et du chapeaux de pail mon pére venais de matane etais contracteur pour j,J Créte a 4 mois moi jetais dans les chantiers et suis rester juque a l’age de 7ans sa cétais en 1943, mon pére fut Contracteur juque dans les années 1960 a se moment la il travaillais pour Consol aux lac des Chiennes j’aimerais bien savoir si il exsite un cite sur les chantiers de JJ Crétes le roi de la mauricie merci et excusé mes fautes ses cause accident si moi comme sa aprécirais beaucoups avoir confirmation a se sugais Aux plaisir Paul mcMullen 800 papin contrecoeur jol-1co Téléphonne 450-587-5059
Edgard THOUY
Très remarquable de simplicité expressive, et d’une chaleur humaine, tout à fait paradoxale dans la solitude de telles circonstances.
Landry, Marie-Françoyse
Considérant le commentaire qui précède sur Anne Stillman,je tiens à spécifier que mon intérêt pour celle-ci,le fut: grâce au récit du “Dr Comtois” qui agissait à titre de médecin personnel de cette dernière…récit que j’ai lu avec un vif intérêt.
Ce qui me permet de connaître à la fois ces deux citoyens forts intéressants de ma ville natale (La Tuque) et ses environs.
Merci!
Marie-Françoyse Landry (ILe Des Soeurs)
Landry, Marie-Françoyse
Nous pouvons dire qu’Anne Stillman dite “Madame” a réussi “sa” vie, bien qu’elle aie réussi dans la vie.
La richesse et l’érudition en ont fait une femme exceptionnelle qui se plaçait bien au-dessus de la mêlée.
Elle a su contribuer au développement de ma ville natale dont je suis fière: “La Tuque” et qui plus est, ses territoires environnants.
Félicitations! À Louise Lacoursière pour son roman et l’intérêt apporté à la lecture de celui-ci.
Bonne Continuation!
Marie-Françoyse Landry (Native de La Tuque)Demeurant à L’Ile Des Soeurs, Qc
et
Madeleine Lepage-Brault,( VMR) une amie qui adore la région.
Mélanie Tran
J’ai adoré lire ces petits bouts de vie, qui n’ont pas dû être facile mais que le bon docteur ne semble pas regretter.
Merci de les avoir rendu publics.
Mélanie
joan verville
je suis née en 1955 a sanmaur et je cherche de la documentation.mon pere était cuisinier a copper lake (belle plage) : mayloan55@hotmail.com